COLLINE en quartet.

« Échos existentiels sur notes douces et légères (chanson à texte) »

Se visiter soi-même le temps d’un concert, c’est ce à quoi vous invite COLLINE en interprétant des chansons issues d’un dialogue entre son monde intérieur et notre réalité toujours plus crue. Sur votre gauche, vous pouvez apercevoir l’allégresse d’une perspective libératrice (se casser en Roulotte), ainsi que la nostalgie de l’enchantement de l’enfance (Petite Magie). En se levant, vos yeux rencontreront Lumière, qui inonde chaleureusement le trou béant qu’a laissé votre ex en partant. Durant cette excursion, il est probable que nous marchions un temps à côté de la charmante Vanille, qui ressemble à s’y méprendre à nos copines dont la gentillesse est abusée par des personnes peu scrupuleuses. Nous nous arrêterons ensuite un instant sur notre rapport conflictuel et tourmenté aux… jupes, en leur rendant femmage.

Effets secondaires fréquents de la balade : yeux mouillés, éclat de rire, « les poils », vision du monde légèrement transformée

Le voix est douce, tantôt chantée tantôt slamée ou déclamée. Un violon-alto est en place près du micro, prêt à prendre le relais des cordes vocales. COLLINE n’est pas seule sur scène : piano, contrebasse et percussion sont maîtrisées par des musiciennes de talent et colorent en jazz, en folk et en pop le style éclectique des chansons.

Clavier : Julien Gillain

Contrebasse : Marta Soares

Percussion : Audrey Dechèvre

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